Les Rues d’Aix
ou recherches historiques sur l’ancienne capitale de Provence
par Roux-Alpheran en 2 tomes 1848 et 1851
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ADDITIONS ET CORRECTIONS
TOME PREMIER.
Voyez les additions et corrections déjà indiquées aux pages 660 et suivantes dudit volume.
Pag. 178, ligne onze ; au lieu des mots frère et cousin.., lisez frère ou cousin.
Pag. 203, ligne vingt-quatre ; au lieu des mots Pierre Gibert… lisez Jean-Pierre Gibert.
Pag. 273, lignes dix-neuf et vingt ; au lieu des mots : né en 1788… lisez né le 29 août 1716, mort le 17 octobre 1788.
Pag. 290, ligne sept ; au lieu des mots Françoise Casaneufve… lisez Suzanne Casaneufve.
Pag. 402, ligne trois de la note ; au lieu des mots tenait séance… lisez prenait séance..
Pag. 443. première note ; corrigez cette note ainsi qu’il suit : reçu par Bertrand Borrilli, notaire à Aix, le 26 avril 1498.
Pag. 511, note deux ; effacez le mot Auditan, et lisez notaire Bernardin Borrilli.
Pages 541 et 542, à la suite de la note, ajoutez :
Cette famille descendait d’un Pierre de Colonia, originaire du lieu de Taranhasco, en Piémont, auquel le vénérable chapitre de l’église de Saint-Jean, présents : frères Mathieu Honorat, prieur, Antoine Roquerii, Pierre Senequerii, Antoine Capelli, Louis de Mogonis, Balthazar Amellii et Antoine Bontosii, donna à nouveau bail une bosque de quatre carterées, au terroir d’Aix, quartier de Moissac, le 15 juillet 1446, Jean Lantemi, notaire. -Pascal de Colonia, fils ou petit-fils de ce Pierre était assesseur d’Aix en 1507-08.
Pag. 640. Après l’épitaphe en vers de René Matheron, ajoutez par note, au bas de la page :
On lisait, avant la révolution, dans la seconde chapelle à gauche de la même église des Dominicains, une autre épitaphe que nous n’avons pu retrouver et qui était ainsi conçue : Passant, voici de quoi t’apprendre à mépriser ce dont tu fais tant de cas. Je fus .Annibal Peinon, natif de Milan, premier simpliste du sérénissime duc de Savoye, à qui la connoissance des plus secrètes vertus des plantes, n’a pas sçu donner de quoi se garantir de la mort. Prie pour son âme, pense à l’éternité et t’en va.
Cette épitaphe, qui ne porte aucune date, nous paraît avoir une telle similitude avec celle du fils de Malherbe, par nous découverte et publiée en 1841, que nous n’hésitons pas à l’attribuer à Malherbe lui-même. – Voyez le Mémorial d’Aix du 28 novembre 1841, où est imprimée l’épitaphe de Henri de Malherbe, mort à Caen en 1587, laquelle nous fîmes tirer, séparément, pour la joindre à nos Recherches biographiques, etc. – Voyez aussi notre 1er vol. pag. 555 et 556.
Pag. 657, ligne onze ; au lieu de : XVIe siècle.., lisez XVIIe siècle.
TOME SECOND.
Pag. 10, ligne onze, et pag. 11, ligne huit de la note ; au lieu des mots : Henri de Lorraine… lisez Charles de Lorraine.
Pag. 16, ligne sept ; au lieu des chiffres 1706.., lisez 1606.
Pag. 35, ligue neuf ; au lieu des mots : évesqué deis fourés… lisez évesqué dé Fourès.
Pag. 39, première ligne de la note ; au lieu des mots : Gazette du midi du… lisez Gazette du midi des 16 et 17 septembre 1838, au feuilleton.
Pag. 95, ligne vingt ; après les mots : quarante-neuvième année… il s’est glissé une erreur grave qui est continuée jusqu’à la fin de l’alinéa : – Madame de Charleval, née de Gueidan, mourut à Aix et non à Lambesc ; et l’évêque d’Agde, son fils, n’était point en Provence à cette époque. Ce fut le curé du Saint-Esprit qui refusa l’administration des sacrements à cette dame; mais la défense au chapitre d’Agde de célébrer un service pour elle, n’en fut pas moins faite par l’évêque, ainsi que le rapporte le père Bicaïs.
Pag. 148, lignes huit et suivantes. Il résulte de nouvelles recherches que nous avons faites, que l’hôtel actuel d’ Estienne d’Orves, situé sur le Cours, appartenait, avant de passer aux Maurellet, marquis de la Roquette, à l’avocat-général Jacques-Joseph de Gaufridi, baron de Trets, fils de Jean -François, auteur de l’Histoire de Provence qui porte son nom et petit-fils du fameux Jacques Gaufridi, premier président du parlement-semestre, desquels nous avons parlé dans notre 1er vol., pages 48 et 49.
Pag. 178, ligne onze ; ajoutez que l’infant don Philippe fit une seconde entrée à Aix le 1er mars 1744, et séjourna pendant près d’un mois au même hôtel de Maurel. Le 15 dudit mois, jour anniversaire de sa naissance, les consuls et assesseur allèrent solennellement lui présenter un bouquet. C’est lors de ce second passage à Aix qu’il donna de grandes fêtes dont on parlait encore cinquante ans plus tard.
Pag. 207, ligne trois de la seconde note ; au lieu du mot : la Prédoyère…. lisez la Bédoyère.
Pag. 235, ligne trois ; ajoutez que l’évêque de Nevers, Pierre de Séguiran, était né à Aix le 19 avril 1739.
Pag. 237, note première. Ajoutez à la liste des pairs de France qui y sont mentionnés, le nom de M. le comte de Panisse ; ce qui porte à treize le nombre des pairs fournis par la ville d’Aix, de 1814 à 1848.
Pag. 393, ligne neuf de la première note ; après les mots Alpheran (Joseph-Hippolyte-Charles-François), ajoutez par note, au bas de la page :
En sa personne vient de s’éteindre, aux eaux de Vichy, le 14 juillet 1848, la seconde des deux branches de sa famille qui subsistaient encore à Aix, et dont nous parlons dans notre premier volume, pages 471 et 472. Ce fils unique du seul des six frères de notre mère qui s’était marié, était à peine âgé de cinquante-un ans et quelques mois. Nous nous abstiendrons de faire son éloge, qui pourrait paraître suspect dans la bouche de son plus proche parent.
Pag. 412, ligne dix-huit, au lieu des mots Saint-Vincent du Var… lisez Saint-Laurent du Var.
Pag. 421, ligne quatorze de la note, au lieu du mot : Arnaud. .. lisez Armand.
Pag. 484, ligne vingt-quatre, ajoutez par note : Dans le cimetière des Recollets fut inhumé, le 23 juin 1786, Claude Arnulphy, bon peintre de portraits, duquel il en reste un grand nombre à Aix. Il était né en cette ville en 1697 et avait étudié dans sa jeunesse à Rome sous Bénédetto Lutti, dont il fut un des meilleurs élèves.
FIN DU SECOND ET DERNIER VOLUME.