Mesdames et messieurs mes lecteurs.
Depuis octobre 2017, M. Jean-Philippe HENDRIKS hurle à l’envi que je suis coupable d’escroquerie, d’abus de faiblesse et d’abus de confiance à son encontre : pourtant, il a été rendu par le tribunal judiciaire d’Aix-en-Provence le 12 octobre 2023 une ordonnance de non-lieu pour ces trois chefs, me blanchissant de toutes ses accusations diffamatoires et lavant mon honneur. Il faut préciser aussi que je n’ai jamais été mis en examen.
Après avoir été débouté plusieurs fois puis s’être constitué partie civile, ceci aboutissant donc à ce non-lieu, M. Jean-Philippe HENDRIKS a toutefois décidé de faire appel — il en a tout à fait le droit — de cette nouvelle décision parce que M. Jean-Philippe HENDRIKS depuis octobre 2017 passe ses journées à imaginer tout ce qui pourrait me nuire après m’avoir encensé : il me harcèle de toute part ; il m’insulte oralement et par écrit en son nom ou en usurpant l’identité de ses amis ; il me diffame auprès de connaissances communes ou à la cantonade sociale (Amazon, Facebook, courriel…) ; il me fait passer pour un personnage peu recommandable auprès des Aixois qui me connaissent ou qui connaissent mon travail sur le passé de la ville d’Aix-en-Provence sous le nom de LAIXOIS ; il attaque mon professionnalisme et me dévalorise pour que ma société périclite… J’ai dû arrêter mes activités autour du passé d’Aix-en-Provence (histoire.aixenprovence sur Facebook & Laixois.fr) et raser quelque peu les murs en attendant cette évidente ordonnance. Voilà donc une description de ce personnage que l’on croit sympathique. Tout ce que je dis est évidemment avéré.
J’ai engagé moultes procédures judiciaires pour autant de plaintes et j’ai fait établir des constats d’huissier colossaux pour faire reconnaître mes bons droits et me protéger. Mais M. Jean-Philippe HENDRIKS veut que cela dure encore, sans argument supplémentaire, sinon ses moyens pécuniaires et sa haine envers moi.
Je vous remercie de votre attention et vous souhaite par cette occasion une belle année 2024.
Thierry BRAYER
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